par Salman ABU SITTA سلمان ابو ستة, Traduit par Fausto Giudice, Tlaxcala
Pour maintenir une façade de code moral, vous ne tuez pas un ami, vous tuez un ennemi. Vous ne dérobez pas la maison d'un autre homme, vous récupérez votre propriété oubliée depuis longtemps. Ce sont les principes adoptés dans toutes les guerres et tous les conflits. C'est pourquoi la mission de l'agresseur a toujours été de décrire la cible à tuer, c'est-à-dire l'ennemi, comme une personne ou un groupe mauvais, méchant, méritant d'être vaincu, et s'il est tué, cela sera une fin naturelle pour son mauvais comportement. De même, la mission de l'occupant a été de prétendre qu'il n'est pas en train de voler quelqu'un d'autre mais simplement en train de récupérer son bien, ce qu’il avait négligé de faire depuis des siècles.
Personne n’a autant perfectionné cet art de la tromperie, ou du double langage, que les agents sionistes. Comment expliquer autrement le succès d'un Hongrois comme Herzl, assis dans un café de Vienne, et professant qu’un État des Juifs serait établi dans 50 ans dans un pays lointain, où il n'avait jamais vécu ? Son succès, presque uniquement en Europe à l'époque, s’est manifesté par le fait qu’il a réussi à convaincre les puissances coloniales des avantages qu’il y aurait à soutenir son projet colonial et à convaincre leurs peuples, les Européens, que cette conquête, - par le meurtre, le pillage et la mise d'un peuple dans le dénuement – était le fait d’une volonté divine, un miracle et une victoire pour la civilisation occidentale.
Nul n'a eu à créer créer autant de mythes et de mensonges dans ses efforts que les sionistes. La raison est simple: ils n’avaient pas de faits crédibles pour étayer leur cause, ils ont donc dû inventer des alternatives douteuses, en s'appuyant sur la disposition à les croire de gens crédules et de politiciens opportunistes.
Prenez le slogan: “La Palestine est une terre sans peuple”. C’était une terra nullius, disent-ils. Bien entendu, les sionistes savaient que des gens y vivaient et avaient construit plus de 1000 villes et villages, la plupart vieux de 2000 ans, selon Eusèbe l'évêque de Césarée (313 ap. JC) qui les a enregistrés. Pourtant, les sionistes ont fourni une carte à la Conférrence de paix de Versailles en 1919, montrant la Palestine comme ”une terre de pâturage pour les nomades”. Ils ont présenté cette carte aux puissances coloniales, en particulier les Britanniques et les Français. L'ironie, bien sûr, c'est que les Britanniques avaient conclu leur enquête volumineuse sur la Palestine, 40 ans plus tôt , en 10 volumes, énumérant 12 000 sites historiques, dont des villes et des villages, et les Français avaient conclu leur enquête, menée par le savant Victor Guérin, en 1863, qui a produit 8 volumes sur son voyage dans presque tous les villages palestiniens. Pourtant, ils ont choisi de croire les sionistes et de tromper leur public pour soutenir cette “noble et morale " conquête, dans les églises, les journaux et les débats publics.
Quel est donc le sens de terra nullius? Cela ne veut pas dire (pour eux) une terre vide. Cela veut dire que ceux qui y vivent n'ont pas d'importance, ils ne valent rien. C'est comme nettoyer les bois de broussailles sèches et d’ insectes.
Voici les paroles exactes de Herzl :
"Si nous entrons dans une région où il y a des animaux sauvages auxquels les Juifs ne sont pas habitués - grands serpents etc - je vais utiliser les indigènes, avant de leur donner un emploi dans les pays de transit [lire: expulsion], pour l'extermination de ces animaux. "
Bien sûr, il n’a pas écrit cela dans son livre publié, mais seulement dans son journal alors inédit.
Balfour l'a dit:
"... En Palestine, nous ne proposons même pas de passer par la formalité de la consultation des souhaits des habitants actuels du pays. Le sionisme [a] un impact plus profond que les désirs et les préjugés [pas les droits] des 700.000 Arabes qui habitent actuellement cette terre ancienne. "
Comment ce projet colonial en Palestine était-il emballé dans le langage diplomatique? Dans la Déclaration Balfour, on appelle cela un “foyer national” pour les Juifs - pas un État visant à l'exclusion des habitants du pays - en Palestine, et non pas de Palestine. Quid de ces habitants? Bien sûr, il y a une référence à eux: "sans préjudice pour les communautés non-juives existant en Palestine”, 92% de la population. Voilà une idée d’après-coup vraiment civilisée.
Si votre maison et votre famille sont menacées par une flot importun d’ immigrants (juifs européens), et que vous vous levez pour le combattre, vous êtes appelé un “bandit”. Votre maison est détruite, vos reserves sont brûlées, votre fils et votre père sont tués ou emprisonnés. C'est ce que les Britanniques ont fait en 1939.
Dix ans plus tard, quand les sionistes ont dépeuplé 675 villes et villages palestiniens et commis plus de 70 massacres, pendant le nettoyage ethniques de la Nakba, certaines personnes naturellement tenté de rentrer chez elles, au moins pour secourir un vieux père, pour arroser le jardin ou pour nourrir les animaux laissés sur place. Personne ne croyait que l'exil durerait plus de quelques semaines. Ces rapatriés ont été tués par les Israéliens sur place. Des plaintes ont été déposées au Comité mixte d'armistice disant que les victimes étaient des "infiltrés", par les mêmes personnes qui s’étaient “infiltrées” en Palestine à peine quelques années plus tôt.
Ainsi, la sagesse conventionnelle veut que ceux qui ont abordé les cotes de Palestine à bord d'un bateau de contrebandiers dans l'obscurité de la nuit ne sont pas des “infiltrés”, ils sont les maîtres de la terre, et les propriétaires réels de la maison qui ont été expulsés de leurs foyer et ont essayé de rentrer chez eux sont “les infiltrés”.
Vingt mille cinq cents jours plus tard, cette ruse est toujours appliquée. Au moment de la rédaction de ce texte, Israël a émis l'ordonnance militaire n ° 1650 (Deuxième amendement) en vertu de laquelle soixante-dix mille Palestiniens résidant en Cisjordanie et originaires d'autres parties de la Palestine sont susceptibles d'être déportés comme “infiltrés”. Par analogie, un Italien de Naples trouvé à Rome, sous l'occupation nazie durant la Seconde Guerre mondiale aurait été susceptible d’être expulsé vers l'Albanie comme “infiltré”. Il faut admettre que le crime de nettoyage ethnique, régulièrement qualifié par la machine de propagande israélienne de "transfert de population”, a atteint de nouveaux sommets de sophistication. Il est maintenant appelé« prévention de l'infiltration ».
La hasbara - هاسباراه-הסברה – n’est que de la Za'bara- زعبرة
On raconte souvent l’histoire d’ Ain Haoud, un charmant petit village au sud de Haïfa, aux belles maisons de pierre. Sa population a été expulsée, mais elle a réussi à rester en Israël. Ils ont construit des cabanes sur la colline opposée, en regardant tous les jours leurs maisons, aujourd'hui occupées par des artistes en provenance de Roumanie qui ont transformé le village en “colonie d’artistes”. Leurs terres et leurs maisons ont été confisquées en vertu de la Loi de 1950 sur la Propriété des Absents. Les "Absents", ce sont les réfugiés expulsés.
La logique est que l'État d'Israël prend la propriété de ceux qui sont «absents», parce qu'ils «abandonné» leurs biens, sans doute pour passer un exil doré sur la Côte d'Azur, et pas dans un camp de réfugiés. Il est donc du devoir d'un État "démocratique" de prendre soin de leurs biens (les utiliser, les louer) pour le compte exclusif de Juifs. Cette logique exclut le fait qu'ils sont absents parce qu'ils ont été expulsés. S’ils revenaient, ils seraient abattus comme “infiltrateurs”.
L'ironie n'a pas de fin. Si d’une manière ou de l’autre les habitants du village sont restés dans la zone conquise par Israël, ils doivent être recensés et recevoir des cartes d'identité. Par conséquent, ils sont “presents”. Mais leurs biens doivent être confisqués parce qu'ils sont “absents”. Par conséquent, ils ont reçu l'appellation d’“absents-présents", un veritable oxymore.
On ne finit jamais de s’étonner. Un de ces "absents-présents" d’Ain Haoud n’en pouvait plus. Alors, un jour, il se dirigea vers la colline d’en face et frappa à la porte de sa maison. Un artiste roumain lui ouvrit. Le propriétaire lui demanda qui il était :
- Je suis Ephraim- D’ùù êtes-vous, Ephraïm?- D’ici, bien sûr, d’Ain Haoud. Pourquoi posez-vous cette question? Et vous êtes qui, vous ?- Je suis Abou Ahmed, de Roumanie.
Le nettoyage ethnique massif de la Palestine, qui a eu lieu en 1948/49, l'année de la Nakba (Catastrophe), sans précédent dans l'histoire moderne, doit avoir dans le lexique sioniste un nom approprié qui cache sa laideur. Ils ont appelé cela "Guerre d'Indépendance», qui est précisément ce dans quoi les Palestiniens ont été engagés depuis la Déclaration Balfour de 1917, c’est-à-dire depuis la trahison des Alliés et leur collusion avec les sionistes pour les priver de leur patrie. Ce terme sioniste a été adopté, par des immigrants juifs qui ont infiltré la Palestine, pour décrire le nettoyage ethnique des premiers habitants de la Palestine. Il a été largement accepté par l'Occident. Heureusement, maintenant des fissures ont commencé à apparaître dans cet édifice de tromperie. Maintenant, il est contraire à la loi en Israël de parler de Nakba. Le monopole reste exclusivement à la tromperie.
La ligne verte est le terme souvent utilisé pour décrire la ligne qui sépare Israël et le Territoire palestinien occupé (TPO) de Cisjordanie et Gaza. Qu'est-ce que cette ligne? Pourquoi est-elle verte ? Son vrai nom est “ligne d'armistice de 1949”. Il s'agit de la ligne sur laquelle les forces israéliennes d’invasion se sont arrêtées en 1949, ayant conquis 78% de la Palestine. Ce fut un grand bond par rapport aux 5,5% de terres appartenant à des Juifs sous le Mandat (britannique) et plus de 24% par rapport à la répartition proposée par le plan de partition (de l’ONU). Israël a signé 4 accords d'armistice avec des pays arabes. L’ article 2 de ces accords inidque clairement que cette ligne ne confère ni ne dénie aucun droit à l'une des parties et n'a pas de valeur juridique. Aucune force militaire n’est autorisée à la franchir, d'où l'armistice. C’ est tout simplement une ligne de séparation entre la Palestine qui a été occupée en 1948 de celle occupée en 1967. Israël l’a franchie en 1967, en violation du droit international. Pour occulter le sens juridique de la ligne et de son franchissement, elle a été surnommée par Israël la Ligne verte, la couleur du crayon utilisé par les Israéliens sur leurs cartes. Ce dispositif simple consistant à renommer la ligne permet à Israël d’impliquer dans sa machine médiatique qu'il n'a violé aucun droit et n'a conquis aucun territoire. Ainsi, Netanyahou peut annoncer froidement dans des interviews à CNN que les Juifs devraient être capables de vivre n'importe où (en Palestine) sans crainte de contradiction. Maintenant, Israël a carrément supprimé cette ligne de ses cartes.
Comment voler un gâteau tout entier et le manger ? Vous devez d'abord voler la moitié d'un gâteau. En l'absence de dissuasion, vous volez l'autre moitié. Vous mangez tout le gâteau dans le cadre du «principe» que les deux moitiés doivent être «unifiées» (dans votre estomac).
Israël a occupé Jérusalem-Ouest en 1948 et Jérusalem-Est en 1967. Israël a affirmé que la ville doit rester “unifiée” sous son contrôle. Le mantra de “l'unification” est destiné à dissimuler le fait que les deux actes sont non seulement illégaux au regard du droit international, mais que, chose surprenante, ils sont contraires aux lois fondatrices d'Israël.
La Déclaration d’ «'indépendance» d’Israël mentionne que sa légitimité internationale, si faible qu'elle soit, repose sur les recommandations du Plan de partition. Mais ce plan n’a jamais placé Jérusalem en Israël. Israël a occupé Jérusalem-Ouest, Lydda, Ramleh, la Galilée et des parties du sud en violation du Plan de partition. L'admisssion d’Israël à l'ONU était subordonnée à la condition qu’il se conforme au Plan de partition et à la résolution sur le retour des réfugiés. Il ne s’y est jamais conformé. Inutile de dire que l'occupation de la Cisjordanie, y compris Jérusalem-Est, est une violation claire de “l'inadmissibilité de la conquête militaire”. Pourtant, “l'unification de Jérusalem” est claironnée par Israël et l'AIPAC comme la justification pour construire n'importe où (pour les juifs seulement) "dans la capitale éternelle d'Israël, qui n'est pas une colonie".
De même, l'occupation de la Cisjordanie est étiquetée “libération de la Judée et la Samarie”. Le Mur de l'Apartheid, condamné par la Cour internationale de Justice, est nommé “clôture de sécurité”. Le redéploiement des forces d'occupation est décrit comme " retrait ".
Rien n'est plus trompeur que le retrait de la bande de Gaza. Israël contrôle ce territoire, son ciel, son sous-sol et ses alentours. La famine organisée à Gaza a été décrite par des responsables israéliens comme une “mise au régime de la population", un nouveau genre de mort lente conçue pour ne pas faire les manchettes des journaux du monde.
Le vrai nom de cette tragédie est “crimes de guerre” et “genocide” au sens des articles 6 et 8 du Statut de Rome de 1998 créant la Cour pénale internationale. Ces deux articles décrivent exactement la situation à Gaza.
Les Palestiniens de Gaza se sont vu promettre de l'eau, de la nourriture, des soins médicaux et une levee (partielle?) du blocus s’ils se pliaient aux conditions du Quartet: reconnaître les occupants israéliens et cesser la résistance contre eux. Blair n'a pas épargné un microphone pour y bêler que 4,5 milliards $ sont en attente pour la reconstruction de Gaza détruite, à la seule condition que les Palestiniens acceptent les conditions du Quartet.
Blair est un menteur patenté. Les médias l'ont cru ou ont fait semblant. Aucun responsable, aucun journaliste, aucun “expert” avisé ne lui dit qu'il ment. Un seul homme. Alvaro de Soto, le médiateur de l'ONU, dans son rapport de fin de mission, en mai 2007, dit au paragraphe 79, que le Quartet n'a jamais imposé aucune condition. Ce sont des conditions usaméricaines et de l'Union européenne en fonction de leur propre politique, utilisant les Nations unies et la Russie comme bouclier de leurs exigences.
Un nom familier sur les écrans de télévision est Sderot, la colonie israélienne, victime de projectiles lancés par des tubes de cuisine qui ont brisé une fenêtre et tué une personne en 8 ans. Le maire de Sderot exprime sa crainte perpétuelle de l'incroyablement bondée bande de Gaza, berceau du terrorisme, et est visité par des dignitaires de capitales européennes et du Congrès usaméricain.
Aucun de ces dignitaires ne sait, ou ne souhaite déclarer que Sderot est une colonie construite sur les terres du village de Najd, dont la population vit expulsée à seulement deux kilomètres de là, dans un camp de réfugiés. Ils lancent leurs projectiles maison sur leurs propres terres, sur leurs occupants, dans un geste symbolique pour faire valoir leur droit à leurs maisons dans le territoire occupé.
Les dignitaires se lamentent sur les conditions de surpeuplement dans la bande de Gaza, la misère, la pauvreté et le désespoir. Ils hochent tristement la tête. Les plus courageux se rendent à Gaza en visite-éclair de deux heures, sans contact avec les vrais gens, blottis derrière des fonctionnaires de l’agence de secours de l'ONU, pour leur éviter d'être dévorés par les habitants affamés.
Un seul de ces visiteurs de marque a-t-il jamais demandé pourquoi la bande de Gaza est bondée et misérable? Elle est bondée car c'est là que la population de 247 villages palestiniens, victimes du nettoyage ethnique en 1948, a été entassée dans une prison à ciel ouvert sur une superficie de 1 % de la Palestine. Ils sont entassés à une densité de 6000 personnes par kilomètre carré tandis que le maire de Sderot & Co.. se baladent sur des terres ayant une densité de 6 personnes par kilomètre carré.
Laissez-les retourner sur leur terre et vous n'aurez pas de surpeuplement, pas de la pauvreté et pas de “terrorisme”. Si l’idée ne vous plait pas, donnez-leur ce que les Israéliens ont : des F16 et des chars Merkava. Le “terrorisme” s'arrêtera et une jolie petite guerre pourra commencer.
Israël se donne la licence de détruire tout village et tuer ses habitants sous la rubrique ”opérations préventives”, parfois appelées “représailles”. Selon ce principe, vous êtes autorisé à penser que votre voisin a l'air méchant et qu'il pourrait un jour décider de vous tuer. Vous décidez donc de prendre des mesures pour le prendre par surprise et le tuer. Vous n'avez pas besoin de voir des tanks avancer. Vous n'avez besoin d’aucune preuve. Votre état d'esprit est suffisant, surtout si vous êtes un raciste. C'est l'explication donnée par Israël pour les massacres dans le camp de Bureij, à Qibya, Samou et une douzaine d'autres endroits. Cette politique est entrée dans la langue de la diplomatie internationale comme un mot respectable. On peut la voir s’étaler aux manchettes des journaux, même si elle est en violation flagrante de l'esprit et de la lettre de la Charte des Nations Unies.
À partir des exemples ci-dessus, il est clair que la manipulation des médias et la terminologie chargée sont l'armée secrète des sionistes. Ce genre d'armée ne peut pas être épinglé par Goldstone, Dugard ou Falk. Mais elle commet des crimes tout comme l’autre armée.
La Hasbara, la fabrication de l'image d’un Israël à la blancheur de lys, est un art raffiné. Ses outils ont été exposés récemment dans le manuel secret de Hasbara d’ Israel Project:
http://www.richardsilverstein.com/tikun_olam/2009/07/10/the-israel-projects-secret-hasbara-handbook-exposed/
http://www.richardsilverstein.com/tikun_olam/2009/07/10/the-israel-projects-secret-hasbara-handbook-exposed/
Pas besoin de déveloper plus. Mais pour ceux qui sont désireux de connaître les faits, et ils sont heureusement de plus en plus nombreux, pour ces braves gens du monde entier qui sont guidés par leur sens moral et pour les Palestiniens, bien sûr, les porteurs de la charge de vérités indicibles, pour tous ceux-là, la Hasbara israélienne est le mieux décrite par un mot arabe homophone : Za'bara, qui signifie: des mots sonores vide de sens et alambiqués.
Le monde sera un meilleur endroit, et la justice aura une chance de l'emporter, quand la Hasbara sera reconnue pour ce qu’elle est vraiment: une pure Za'bara. Lorsque la vérité resplendit, elle dissipe les nuages des mythes.
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La Première guerre mondiale des mots est une initiative de Palestine Think Tank et Tlaxcala.
Les auteurs souhaitant y participer peuvent envoyer leurs contributions à contact@palestinethinktank.com et à tlaxcala@tlaxcala.es.
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Source : Hasbara or Za’bara
Article original publié le 16/4/2010
Sur l’auteur
Tlaxcala est le réseau international de traducteurs pour la diversité linguistique. Cette traduction est libre de reproduction, à condition d'en respecter l’intégrité et d’en mentionner l’auteur, le traducteur et la source.
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Article original publié le 16/4/2010
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