Débat entre les formations politiques tunisiennes, organisé par le Collectif ACET (Auditons les créances envers la Tunisie) le 13 octobre à Paris.
Le Collectif ACET (Auditons les créances européennes envers la Tunisie) invitait les têtes de listes de partis politiques tunisiens, de coalition et d’indépendants candidats aux élections de la constituante qui le souhaitaient, à venir débattre sur le thème de la souveraineté économique tunisienne. Ce débat s’inscrit dans la continuité des événements précédemment organisés par le Collectif, à savoir une conférence le 28 juin 2011 sur le mécanisme de la dette puis une conférence de presse le 15 septembre 2011 à l’Assemblée Nationale Française lançant officiellement la campagne pour un audit des créances françaises et européennes envers la Tunisie.
L’objet de ce débat était de permettre aux électeurs de prendre connaissance des positions des différentes listes tunisiennes, candidates à la Constituante, sur cette question d’autodétermination fondamentale. C’était aussi l’occasion pour chacun de confronter ses idées et son programme économique et d’exposer sa vision de la future économie du pays.
Le Collectif ACET (Auditons les créances européennes envers la Tunisie) invitait les têtes de listes de partis politiques tunisiens, de coalition et d’indépendants candidats aux élections de la constituante qui le souhaitaient, à venir débattre sur le thème de la souveraineté économique tunisienne. Ce débat s’inscrit dans la continuité des événements précédemment organisés par le Collectif, à savoir une conférence le 28 juin 2011 sur le mécanisme de la dette puis une conférence de presse le 15 septembre 2011 à l’Assemblée Nationale Française lançant officiellement la campagne pour un audit des créances françaises et européennes envers la Tunisie.
L’objet de ce débat était de permettre aux électeurs de prendre connaissance des positions des différentes listes tunisiennes, candidates à la Constituante, sur cette question d’autodétermination fondamentale. C’était aussi l’occasion pour chacun de confronter ses idées et son programme économique et d’exposer sa vision de la future économie du pays.
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