En
1967 ou 68 est arrivé dans la maison de mes grands-parents un roman
avec tant de personnages, portant tous des noms si bizarres que, pour le
lire, il fallait noter sur un bout de papier qui était le fils de qui,
le frère de qui et le mari de qui. En plus, l'usage coutumier consistant
à attribuer les noms de leurs ancêtres aux descendants rendait les
choses encore plus compliquées.
- Je te le recommande. C'est d'un type qui est journaliste à El Espectador.
C'est avec ces mots que mon grand-père passa le roman à sa
belle-sœur, qui ouvrit la première page en début de soirée et ferma la
dernière page le lendemain matin. Lire la suite
Le Colonel Aureliano Buendía et son compère Gerineldo Márquez, par Itamar Lilienthal
Fausto! Mil gracias por la traducción. Leo el francés y me ha gustado muchísimo. Un abrazo.
RépondreSupprimerCamilo.