Le premier des quatre agresseurs de Ginette Skandrani à être jugé a été condamné mardi 18 novembre 2008 à 1 an de prison avec sursis avec mise à l'épreuve de 5 ans, 3000 € de dommages et intérêts et 800 € de frais de justice.
La procureure, après avoir expliqué que, pour un tel délit, la peine requise pouvait être de 10 ans de prison (violence en groupe et avec armes avec préméditation contre personne vulnérable), n'avait requis que 18 mois, vu que les torts étaient partagés entre les 4 agresseurs (à ce compte, il vaut mieux commettre des agressions à 50...).
Le jeune prévenu, mineur au moment des faits, avait déjà été condamné en mai 2006 à deux mesures éducatives pour violences commises en groupe lors de manifestations.
Son père a condamné l'acte de son fils, expliquant qu'il était introverti et facilement manipulable, et qu'il s'était laissé entraîner dans le groupe, mais que maintenant, il avait retrouvé une stabilité et un bon traval (bijoutier avec un salaire de 2300 € par mois).
La procureure, après avoir expliqué que, pour un tel délit, la peine requise pouvait être de 10 ans de prison (violence en groupe et avec armes avec préméditation contre personne vulnérable), n'avait requis que 18 mois, vu que les torts étaient partagés entre les 4 agresseurs (à ce compte, il vaut mieux commettre des agressions à 50...).
Le jeune prévenu, mineur au moment des faits, avait déjà été condamné en mai 2006 à deux mesures éducatives pour violences commises en groupe lors de manifestations.
Son père a condamné l'acte de son fils, expliquant qu'il était introverti et facilement manipulable, et qu'il s'était laissé entraîner dans le groupe, mais que maintenant, il avait retrouvé une stabilité et un bon traval (bijoutier avec un salaire de 2300 € par mois).
On attend maintenant le prochain procès, celui de Mike Sfez, le seul autre inculpé se trouvant sur le territoire français, puisque les complices, Ruben Colleu et Elie Steven, sont à l'abri de la justice française, en Israël, terre promise de délinquants et de criminels.
« Des antisémites notoires comme Ginette Skandrani et Jean-Paul Cruse ont alors pris place dans notre rassemblement. L’ensemble des organisateurs a exigé qu’ils quittent les lieux. Ce qu’ils ont refusé. C’est alors que quelques éléments des deux petits groupes qui nous avaient rejoints (dont un, au moins, appartenant au " Mouvement pour la Justice et la Dignité") se sont opposés physiquement et brutalement à l’expulsion des négationnistes. Dans la discussion houleuse qui a suivi, chacun a pu entendre des propos sur " la honte de la présence de juifs " et de " sionistes infiltrés " dans le mouvement de solidarité avec la Palestine » (Communiqué Association France Palestine Solidarité Union juive française pour la Paix 19/01/05) «un dispositif spécial est prévu pour séparer le cortège de tout élément douteux (…) dont les mots d'ordre risqueraient de discréditer le mouvement de solidarité". « les "éléments douteux" qu'il faut tenir à l'écart et dont il faut se démarquer sont des partisans d'Israël Shamir qui ont fièrement brandi son ouvrage antisémite "Le visage caché d'Israël"… ». (instructions de Richard Wagman). Il n’est pas rare que des négationnistes et des racistes se joignent à des manifestations organisées par l’Association France Palestine Solidarité, sans que cela empêche les organisateurs de récidiver. Ainsi le 12 janvier 2005, Ginette Skandrani s’est jointe à une manifestation de l’AFPS à Paris, faisant exclure du rassemblement l’Union des Juifs Français pour la Paix.
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